Le sanglier Marco coulera des jours heureux à la base aérienne de Florennes

À Couvin, les habitants pourront être inhumés avec les cendres de leur animal de compagnie. La commune applique un décret wallon voté en 2024. Une mesure symbolique, effective depuis le 1er novembre.

Voici les trois infos de l'Expresso de ce vendredi 7 novembre: appel aux dons de sang et de plasma, une foire avec 50.000 livres à Namur, et un cheval sauvé des eaux à Gesves.

À la base aérienne de Florennes, un nouveau membre pas tout à fait comme les autres a rejoint les rangs. Marco, le jeune sanglier sauvé de Namur, s’est trouvé une nouvelle famille… et même sa propre unité, la Wild Boar Crew.

Une grue cendrée, atteinte de grippe aviaire, a été recueillie au CREAVES de Namur. L’oiseau a dû être euthanasié. L’incident rappelle l’importance de ne pas manipuler les animaux sauvages malades et de prévenir les autorités compétentes.

Moins connus que les refuges pour chiens et chats, ceux pour animaux de ferme existent aussi. A Romedenne, l’ASBL Équi’Chance en est un bel exemple. Depuis 15 ans, il accueille des animaux en détresse. Un anniversaire que l’équipe fêtera ce 31 août.

C'est une première insolite à Philippeville : la piscine communale a ouvert ses portes aux chiens la veille de sa vidange biennale. Retour sur un événement inédit qui a fait sensation.

Tout ce week-end, le cheval de trait sera mis à l'honneur à Bois-de-Villers (Profondeville). Les Éleveurs namurois du cheval de trait organisent un concours pour chevaux de trait belges et ardennais, avec des démonstrations et des animations.

Ce dimanche 3 août, le refuge 100 chevaux sur l'herbe à Couvin ouvrira ses portes au public pour sa grande fête annuelle. Une journée essentielle pour ce sanctuaire animalier qui soigne près de 200 animaux sans aucune aide publique.

Ils sont bio, locaux et passent par une série de contrôles stricts. Pourtant, les oeufs wallons sont à leur tour touchés par la polémique des PFAS. Les éleveurs professionnels souhaitent prendre la parole pour rassurer les consommateurs.

À Cerfontaine, une campagne novatrice a été mise en place pour assurer la sécurité des animaux de compagnie lorsque leurs propriétaires, vivant seuls, font face à une urgence.

Vous avez envie de rire, et en même temps, vous pouvez oeuvrer pour la bonne cause... Alors, on vous invite au festival Poilant, un festival d'humour qui a lieu tout ce week-end (4-5-6 octobre) au centre culturel Gabrielle Bernard, à Moustier-sur-Sambre. L'événement est organisé en même temps que le salon du bien-être animal. Et pour cause, l'ensemble des bénéficies sont reversés pour la cause animale. Côté rire, on attend du beau monde avec notamment Nicolas Lacroix et Manon Lepomme. Pour en parler, nous recevons sa fondatrice et son organisatrice.

La maladie de la langue bleue touche de nombreuses exploitations dans notre région. Cette maladie concerne essentiellement les moutons. Il s'agit d'une infection qui provoque de la fièvre, de l'inflammation des muqueuses, et qui peut faire gonfler la langue des moutons, jusqu'à ce qu'elle devienne bleue. Le virus peut aussi être mortel; certains éleveurs ont perdu de 10 à 30 % de leurs moutons. La maladie, par contre, ne présente aucun danger pour l'homme. Pour en savoir plus, nous nous sommes rendus au Centre de recherches ovines de l'Université de Namur, à Gesves.

Depuis tout petit, Tino Dakota, le véritable cow-boy de Lesve, est passionné par la culture du Western. Tous les matins, il se lève pour s'occuper de ses chevaux qui vivent paisiblement dans son ranch, monté de toutes pièces par ses soins. Amoureux de la nature et de la vie dans les champs, Tino a envie de transmettre sa passion pour son mode de vie. Un matin en se réveillant, une idée est venue éclairer ses pensées : "Et si j'organisais un festival ?" Avec l'aide de ses amis, il a monté un festival de Western reprenant plusieurs activités comme des balades à dos de cheval, un rodéo de mouton sur un traîneau fabriqué à la main, de la danse et de la musique country... Bref, de quoi bien s'imprégner de son univers.

Ce jeudi 25 juillet, Gaia a mené une action dans les rues de Namur. L'association de défense des animaux encourageait les Namurois à lancer un cri pour une audio-pétition. Une pétition contre la mise à mort des poussins, qualifiée par Gaia de massacre dans notre pays. En Belgique, les poussins mâles sont tués car ils sont considérés comme inutiles puisqu'ils ne pondent pas d'œufs. D'après un sondage Ipsos, une majorité de Namurois est favorable à l'interdiction légale du gazage et du broyage des poussins.