Namur Battlefield & Kids : Raconter la guerre 40-45 aux élèves de primaire

Le troisième rendez-vous des Boys Can Play, tournoi de Basket 3 contre 3 réservé aux garçons entre U10 et U16, se tenait à Belgrade. L'occasion pour le club local de montrer l'importance de cette nouvelle discipline olympique dans la formation de leurs jeunes basketteurs.

Si les Namuroises ne voulaient pas se mettre de pression à Farciennes pour les finales francophones U19 de volley, elles espéraient tout de même pouvoir titiller les meilleurs équipes. Après une entrée en lice compliquée contre Waremme, le Namur Volley a impressionné lors de son deuxième match contre Stabulois, porté notamment par une très bonne Léa Hubeaux, replacé réceptionneuse pour l'occasion. Namur finira tout de même à une jolie cinquième place, pas loin d'accrocher un podium.

À Wépion, au bout d'un chemin de campagne, se trouve un fort militaire recouvert par la nature. Le fort Saint-Héribert, construit à la fin du 19e siècle, est bien là, sous terre. Racheté en 2013 par Émile Legros qui possédait un terrain avoisinant, le site est aujourd'hui entretenu par sa fille Françoise et son équipe de bénévoles. Déterminée à ce que tout le monde puisse venir le découvrir, l'équipe a réalisé des travaux pour agrandir la partie visitable du site et élargir les activités sur place. Un musée de dons a fait son apparition ainsi que des expositions artistiques dans le fort. Une application permet aux visiteurs de s'informer tant sur le fort que sur la nature qui l'entoure.

Le Namur Hockey, déjà certain d'être relégué avant la dernière rencontre des Play-Down contre le OLd Club de Liège, espérait finir la saison sur une bonne note. Mais les Namuroises, en manque de réalisme, seront punies sur une reconversion ultra rapide de Margaux Dressard en début de troisième quart. Malgré une flopée d'occasions et un goal annulé, les locales ne reviendront jamais au score. Une déception même si le Namur Hockey aura à nouveau montré de la force de caractère. Retour sur cette saison et la relégation avec la capitaine, Océane Duchatelet et la manageuse du Namur Hockey, Barbara Laurent.

Fin mars, 3 000 personnes, dont 1 500 élèves, ont fréquenté le salon des métiers organisé dans le hall omnisports de Laneffe, à Walcourt. Chauffage, coiffure, maçonnerie, charpenterie, puériculture, … Ils et elles ont eu l'embarras du choix. Et vous, quel métier aimeriez-vous faire ?

"Hyperland", "le procès du Loup", "La Chorale", "Tu connais New-York" ? Voilà 4 spectacles qui sont portés sur scène à Philippeville par les élèves de l'IND inscrits à l'option Arts d'expression. Depuis hier soir, et jusqu'à vendredi, le Festival Arts d'ex, c'est l'occasion pour leurs parents, amis, professeurs mais aussi pour tous les curieux de découvrir le fruit de leur travail acharné.

Plus de 700 élèves d'écoles secondaires namuroises étaient présents au grand manège de Namur pour une conférence haute en émotion. Simon Gronowski, un enfant juif déporté vers Auschwitz ayant sauté du wagon au moment du transfert. Il partage son histoire tragique 80 ans après les faits et rappelle auprès des étudiants l'importance de la démocratie belge et les problèmes que pose l'extrême droite dans notre pays.

Depuis quelques années, vous avez sans doute remarqué que des tranchées apparaissent dans vos quartiers. En effet, l'installation de la fibre optique dans la région avance à grand pas. Aujourd'hui, elle couvre l'entièreté du centre-ville de Namur et plus de deux tiers des foyers et des entreprises connectés. Ce lundi 22 avril se tenait une conférence sur l'avancement du projet en présence des autorités de la ville. Une belle occasion pour remettre le tout premier "Fiber Friendly City" de Wallonie au conseil communal.

Le Saint-Louis Festival est de retour cette année, dans l'enceinte de l'école Saint-Louis, au coeur de Namur. La nouveauté pour cette nouvelle édition : le Saint-Louis Festival Kids, un festival entièrement dédié aux enfants. Il a eu lieu ce samedi, juste avant la soirée classique du festival.

Une Namuroise de l'année pousse un cri d'alarme. Valérie Lessire, l'administratrice de l'ASBL Mat'et Eau, lance un appel au pouvoir public en raison d'un manque de subsides. Le nouveau centre de jour va bientôt permettre d'accueillir jusqu'à 12 personnes dont plusieurs sont considérées prioritaires. Cet appel au pouvoir public est fait pour l'aménagement de ce nouveau centre de jour ainsi que de garantir la sécurité de l'emploi des salariés de l'ASBL.

Il y a 80 ans, en juin 44 les alliés arrivaient en normandie. Suivi par la libération et un an plus tard la fin de la guerre. Une date anniversaire importante qui sera commémorée un peu partout cette année. A Cerfontaine, on a décidé de prendre un peu d’avance sur le calendrier et de donner le coup d’envoi du marathon mémoriel ce week-end. Pour l’occasion, village de reconstitution, hommages et expositions.

Ils étaient plus de 1350 coureurs à se lancer cette année sur le marathon de Namur. Plus de 7000 avec le semi-marathon et le 10km. Un événement qui a de plus en plus de succès en Belgique, mais aussi à l’international. Notre journaliste Damien Hansen s’est rendu à plusieurs endroits stratégiques du marathon pour vous faire vivre l’ambiance sur le parcours.

Caroline Lequeut vient de Philippeville, elle est logopède, elle aide dans la bergerie familiale de Vodecée, elle est apicultrice... Mais surtout, c'est une passionnée de lecture et d'écriture. Depuis 2021, elle a publié 5 albums grâce à sa propre maison d'édition. Il y a quelques jours, elle les a présenté devant les élèves de l'école de Fagnolle. Une matinée où ils ont pu écouter, lire et aussi raconter leurs propres histoires par le dessin.

Le SPW a commencé sa campagne de migration vers la ville de Namur. En effet, jusqu'alors situé sur trois sites différents, les bâtiments du SPW Économie, Emploi et Recherche déménagent sur un même site, Boulevard Cauchy. L'objectif est de centraliser les services pour passer de 56 implantations à 12, ces infrastructures fraîchement rénovées visent à améliorer l'efficacité opérationnelle tout en réduisant leur empreinte carbone.

5 ans maximum pour terminer son bachelier, fin des "casseroles" que l'on traîne de sa première à sa dernière année, changement des règles de finançabilité... La réforme du décret paysage fait grincer des dents et inquiète tant chez les étudiants que chez les politiques. Mais sur le terrain, qu'en est-il réellement ? Des jeunes risquent-ils de ne pas pouvoir terminer leur cursus à cause de ces changements ? La Haute école Albert Jacquard a fait les comptes... Et la situation semble préoccupante.