Horeca - En pénurie de personnel, il tente le tout pour le tout

À Wépion, au bout d'un chemin de campagne, se trouve un fort militaire recouvert par la nature. Le fort Saint-Héribert, construit à la fin du 19e siècle, est bien là, sous terre. Racheté en 2013 par Émile Legros qui possédait un terrain avoisinant, le site est aujourd'hui entretenu par sa fille Françoise et son équipe de bénévoles. Déterminée à ce que tout le monde puisse venir le découvrir, l'équipe a réalisé des travaux pour agrandir la partie visitable du site et élargir les activités sur place. Un musée de dons a fait son apparition ainsi que des expositions artistiques dans le fort. Une application permet aux visiteurs de s'informer tant sur le fort que sur la nature qui l'entoure.

Á côté du cadre pittoresque du verger de pommiers et de cerisiers de Marie Lesseux sur le plateau de à Bouge, un projet d'hôtel de grande envergure suscite des préoccupations parmi les habitants. Il s'agit d'un hôtel du groupe néerlandais Van Der Valk.

Le quotidien "L'Avenir Namur" a publié, il y a quelques jours, un article sur la future implantation d'un hôtel du groupe hollandais Van der Valk dans le nouveau parc d'activités économiques Care-Ys de Bouge. Problème majeur, le BEP n'a toujours pas donné son accord vert pour la vente du terrain. Au centre des discussions, le Décret wallon sur les parcs d'activités économiques.

Le secteur de l'Horeca, depuis la crise Covid, est toujours en difficulté. La pénurie de personnel est encore bien palpable, tant en salle qu'en cuisine. Le modèle a changé selon plusieurs observations et les perspectives d'avenir sont difficiles à définir alors que du côté de la clientèle, on continue à se rendre régulièrement au restaurant. Le secteur doit-il se réinventer ?

Vous êtes peut-être indépendante ou indépendant, et vous faites face à un certain stress, voire à un mal être. Exploiter un commerce, exercer une activité libérale, ou gérer une entreprise apporte son lot de satisfaction, mais aussi de difficultés au quotidien, ou à long terme. Pour venir en aide aux indépendants, le ministre fédéral des classes moyennes, des indépendants et des PME, en collaboration notamment avec l'UCM, lance un programme d'aide aux indépendants pour améliorer leur bien-être.

Nous voilà arrivé à la fin d'un cycle pour Kesk'on s'Houppe. Pour la toute dernière émission, Bertrand et Xavier ont découvert les farines de l'Escaille et le restaurant gastronomique italien "Le Mona Lisa".

Cette fois, Bertrand et Xavier vous emmènent à la découverte d'un fromage disparu pendant longtemps : le collégial. Direction donc la ferme du Sacré-Coeur. Ensuite, en route vers la brasserie "Le Félicien" pour préparer une tartiflette au magret de canard et au collégial. Un moment délicieux et complètement décalé !

La pénurie de personnel santé n’est pas une nouveauté. Les hôpitaux fonctionnent avec des effectifs réduits. Mais ce ne sont pas les seuls! Dans les maisons de retraite, on fonctionne aussi à flux tendu. La situation devient très compliquée et afin de garantir des soins de qualité, certains homes sont obligés de réduire le nombre de places d'accueil. C'est le cas à Philippeville. Le home Vauban a récemment dû diminuer son nombre de résidents. Passant de 80 à 75. Alors que le président et la directrice du CPAS n’ont pas souhaité répondre à nos questions. Nous sommes allés tendre le micro du côté de Viroinval, où la situation n’est pas aussi catastrophique, mais tout de même compliquée. Ils nous expliquent leur quotidien.

La pénurie de médecins généralistes touche bon nombre de communes rurales. Dans le sud de la province de Namur, plusieurs communes sont d'ailleurs répertoriées comme en "pénurie grave". A Viroinval, si la situation semble moins catastrophique que par ailleurs, elle n'est pas pour autant idéale. Un projet de maison médicale soutenu par la commune et porté par deux médecins de l'entité devrait d'ailleurs voir le jour pour essayer d'attirer de nouveaux docteurs.

Le Tcharbon vous connaissez ? Bertrand et Xavier se sont rendus chez le seul producteur de charbon wallon à Bertrix ! Après une visite mouvementée et un bon barbecue, ils se sont rendus au Grill des Tanneurs à Namur pour en apprendre davantage sur les secrets d'une bonne cuisson au barbec.

La pénurie de place en crèche, un problème bien présent. Parmi les communes les plus touchées, nous évoquions dernièrement celle de Doische, mais elle n’est pas la seule. En Entre-Sambre-et-Meuse, l’entité de Walcourt est également dans le rouge. Cela devrait, cependant, s’améliorer dans les 2 ou 3 prochaines années. Un premier dossier vient d’ailleurs de se clôturer, les travaux d’aménagement d’une nouvelle crèche à Thy-le-chateau.

De près ou de loin, on connaît tous des parents confrontés à la recherche d’une place en crèche. Leurs histoires se ressemblent : listes d’attente interminables, fermetures, obligation de reporter la reprise du travail… Il y a quelques jours, la Ligue des Familles a donc sorti une carte interactive, elle permet de connaître la situation sur le territoire. Parmi les entités pointées du doigt, celle de Doische, où aucune crèche n’est implantée. Une pénurie dont la commune est bien consciente. Elle n’a d’ailleurs pas attendu l'analyse de la Ligue des Familles pour prendre le taureau par les cornes. Un projet de crèche est déjà en cours.

Pour cette nouvelle saison, Xavier et Bertrand se sont rendus à La Chèvre et le Chou à Eghezée. Ils ont pu traire une chèvre ! Ensuite, ils ont rendu visite à La Ligne 147 pour cuisiner de bonnes recettes à base de fromage de chèvre.

La pénurie de places d'accueil dans les crèches et autres structures de la petite enfance touche de nombreuses communes. A Florennes, ce sont 8 places qui viennent de fermer. L'espace de co-accueil de Flavion, nommé "Le Jardin D'enfants", vient brutalement de fermer ses portes. Une situation compliquée pour les parents qui se retrouvent dans l'impossibilité de replacer rapidement leur enfant. En effet, les structures d'accueil de la commune sont déjà pleines. Plusieurs mois d'attente sont souvent nécessaires. Le point sur la situation dans la commune avec l'échevin, Gregory Chintinne.